Please use this identifier to cite or link to this item: http://hdl.handle.net/20.500.12279/809
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dc.contributor.authorBERTIER, Marie-
dc.contributor.authorLUYTEN, Jeroen-
dc.contributor.authorTUBEUF, Sandy-
dc.date.accessioned2021-06-14T14:00:48Z-
dc.date.available2021-06-14T14:00:48Z-
dc.date.issued2021-04-
dc.identifier.issn2033-3013-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12279/809-
dc.description.abstractLa moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des dernières semaines a conduit le SPF Santé Publique à suggérer un passage à la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hôpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d’une capacité hospitalière suffisante pour fournir les soins nécessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement à des soins médicaux depuis le début de la crise sanitaire est devenu plus fréquent dans la population. Qu’il s’agisse d’un report de rendez-vous par les professionnels de santé ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins médicaux non satisfaits pourraient conduire à une dégradation ultérieure de l’état de santé et donc directement ou indirectement à une surmortalité. Ce numéro de Regards économiques réalise un premier état des lieux de l’ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement à partir des données d’une enquête en ligne menée auprès de la population en Belgique au printemps 2020. L’analyse montre un important renoncement à des soins spécialistes et des examens médicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relèvent de l’offre de soins, notamment le fait que les hôpitaux ou les établissements de soins ont annulé ou reporté les rendez-vous médicaux ou que les professionnels de santé avaient fermé leur cabinet. Puisqu’ils sont nécessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particulièrement renoncé à des soins médicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparités dans le renoncement s’observent majoritairement au détriment des plus pauvres. Une détérioration de l’état de santé de la population est donc à craindre du fait du renoncement à des soins médicaux durant le confinement et au-delà puisqu’une proportion non négligeable de personnes rapportent ne pas envisager d’aller consulter lors d’un futur besoin de soins.en_US
dc.formatDocsen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherRegards économiques - UCLouvain/IRESen_US
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/*
dc.subjectpensionsen_US
dc.subjectsoins de santéen_US
dc.titleRenoncement aux soins médicaux et confinement : les enseignements d’une enquête en ligneen_US
dc.title.alternativeRegards économiques numéro 162 - avril 2021en_US
dc.typeOtheren_US
LOM.educational.typicalAgeRangeBaccalaureaten_US
LOM.educational.typicalAgeRangeMasteren_US
LOM.educational.typicalAgeRangeDoctoralen_US
LOM.educational.typicalAgeRangelonglifeen_US
LOM.educational.typicalLearningTimeOtheren_US
LOM.educational.languagefren_US
dc.audiencebothen_US
Appears in Collections:Economics and business

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Numéro 162 - avril 2021 Regards économiques262 BURLRedirect to