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dc.contributor.authorATTANASI, Gautier-
dc.contributor.authorBODART, Vincent-
dc.contributor.authorCOURTOY, François-
dc.contributor.authorFONTENAY, Sébastien-
dc.contributor.authorLACHAPELLE, Nathan-
dc.contributor.authorOUNNAS, Alexandre-
dc.contributor.authorSAUVENIER, Mathieu-
dc.date.accessioned2020-12-26T08:07:56Z-
dc.date.available2020-12-26T08:07:56Z-
dc.date.issued2020-07-
dc.identifier.issn2033-3013-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12279/795-
dc.description.abstractL’éclatement de l’épidémie de coronavirus en début d’année a mis brutalement à l’arrêt l’activité économique d’un grand nombre de pays. Le choc économique est particulièrement sévère pour la Belgique, dont l’activité économique devrait enregistrer en première partie de cette année son recul le plus important depuis la seconde guerre mondiale. A la faveur de la levée des mesures de confinement prises pour enrayer la propagation du virus, l’activité économique a commencé progressivement à reprendre dans de nombreux pays, en ce compris la Belgique et les autres pays européens. Les résultats des dernières enquêtes de conjoncture témoignent de cette reprise. Ainsi, après avoir très lourdement chuté en avril, la confiance des entreprises et des ménages belges a commencé à se redresser en mai, et elle a continué à se raffermir en juin. La poursuite de la reprise économique en cours durant la seconde partie de l’année et en 2021 dépendra étroitement de l’évolution de la situation sanitaire. Il est ici fait l’hypothèse que, à l’avenir, la propagation du virus pourra être contrôlée sans que cela nécessite l’instauration d’une nouvelle période de confinement généralisé. Sous cette hypothèse, l’activité économique devrait rebondir fortement en seconde partie de cette année, avant de retrouver des rythmes trimestriels de croissance plus conventionnels en 2021. Malgré la reprise attendue, l’activité économique en Belgique se situerait fin 2021 en dessous du niveau auquel elle se serait située sans la crise. Bien que courte, la récession actuelle devrait laisser des cicatrices profondes, notamment en termes d’emploi et de chômage, qui limiteront les capacités de redémarrage de l’économie. Selon ce scénario, l’économie belge devrait se contracter de près de 10 % en 2020. Elle afficherait à nouveau une croissance positive en 2021, de 7,5 % en base annuelle. Malgré la mise en place de dispositifs de chômage temporaire, le choc économique provoqué par la crise épidémique devrait avoir un lourd impact sur la situation du marché du travail.en_US
dc.formatDocsen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherRegards économiques - UCLouvain/IRESen_US
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/*
dc.subjectprévisions économiquesen_US
dc.subjectcoronavirusen_US
dc.subjectcriseen_US
dc.subjectchocen_US
dc.subjectrésultatsen_US
dc.subjectrepriseen_US
dc.titlePerspectives économiques 2020-2021en_US
dc.title.alternativeRegards économiquesen_US
dc.typeArticleen_US
LOM.educational.typicalAgeRangeOtheren_US
LOM.educational.typicalLearningTimeOtheren_US
LOM.educational.languagefren_US
dc.audiencebothen_US
Appears in Collections:Economics and business

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Numéro 156 - juillet 2020 Regards économiques262 BURLRedirect to