Please use this identifier to cite or link to this item: http://hdl.handle.net/20.500.12279/553
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dc.contributor.authorPETITJEAN, Mikael-
dc.date.accessioned2019-03-17T07:38:53Z-
dc.date.available2019-03-17T07:38:53Z-
dc.date.issued2012-09-
dc.identifier.issn2033-3013-
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/20.500.12279/553-
dc.description.abstractDepuis la crise des emprunts hypothécaires risqués aux Etats-Unis, plus personne n’ignore l’existence des agences de notation. La population, les responsables politiques et même certains économistes se posent légitimement les questions suivantes : pourquoi les agences de notation ont-elles été créées? Quelles sont leurs particularités ? Pourquoi jouent-elles un rôle si prépondérant aujourd’hui ? Quelles réformes faudrait-il mettre en œuvre ? Ce numéro de Regards économiques, intitulé «De l’(in)utilité des agences de notation», est organisé de la manière suivante. Pour bien comprendre le rôle que jouent aujourd’hui les agences de notation, il est essentiel, dans un premier temps, de définir le cadre historique dans lequel elles ont vu le jour. Dans un second temps, nous expliquons que les décisions prises par les autorités de régulation financière aux Etats-Unis, suite à la crise des années 1930, ont renforcé considérablement le rôle que jouent les agences de notation dans le système financier international. Ensuite, nous analysons le mode de rétribution des agences de notation pour en identifier les forces et les faiblesses. Nous montrons également que le club des agences de notation s’est refermé encore un peu plus à partir des années 1970, que le contrôle du risque dans le secteur bancaire s’est progressivement basé sur les notations émises par les agences, que la titrisation a accentué l’importance de ces notations et que la crise des «subprimes» a révélé au grand jour les failles du modèle de rétribution des agences. Enfin, il faut constater que les agences de notation ne sont ni des usurpateurs de pouvoir, ni des facteurs de transparence indispensables. C’est la raison pour laquelle nous insistons sur l’importance d’introduire des réformes qui conduisent aussi bien à une plus grande diversité qu’à un plus grand conservatisme dans l’octroi des notations. Les réformes actuelles doivent inciter les acteurs économiques à déterminer et utiliser des notations plus conservatrices, que ces notations soient émises par une agence officielle, une institution financière, ou calculée à partir de prix observés sur le marché. Les agences de notation jouent souvent les premiers rôles sur la scène économico-financière. Donnons-leur plutôt un rôle de figurant. Telle est la recommandation centrale de ce numéro de Regards économiques.en_US
dc.formatDocsen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherRegards économiques - UCLouvain/IRESen_US
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivs 3.0 United States*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/3.0/us/*
dc.subjectbanquesen_US
dc.subjectmonnaieen_US
dc.subjectfinanceen_US
dc.titleDe l'(in)utilité des agences de notationen_US
dc.title.alternativeRegards économiques - Numéro 98 - Septembre 2012en_US
dc.typeArticleen_US
LOM.educational.typicalAgeRangeBaccalaureaten_US
LOM.educational.typicalAgeRangeMasteren_US
LOM.educational.typicalAgeRangeDoctoralen_US
LOM.educational.typicalAgeRangelonglifeen_US
LOM.educational.typicalLearningTimeOtheren_US
LOM.educational.languagefren_US
dc.audiencebothen_US
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Numéro 98 - septembre 2012 De l'(in)utilité des agences de notation262 BURLRedirect to